Après les 19, 31 janvier, 7, 11, 16 février, 7, 11, 15, 23, 28 mars, 6 et 13 avril, le 1er mai, le 6 juin. / Et si ces jours avaient été consécutifs ?

C'est un gouvernement irresponsable qui reste sourd aux revendications pour le retrait de sa réforme injuste, qui envoie ses forces violentes de l'ordre matraquer et mutiler sans discernement les manifestants, qui ne possède aucune légitimité démocratique et qui joue le pourrissement de la situation.

Les sujets sont pourtant nombreux :

  • l'augmentation des prix
  • la destruction des services publics : santé, éducation, justice,... (sauf l'armée)
  • la restriction des libertés
  • les violences policières
  • la précarisation forcée : réforme de l’assurance-chômage, contreparties du RSA, ...
  • favoritisme à l'égard de la classe dominante et stigmatisation des plus faibles